2025 Des droits pour prendre soin de chaque humain!
2024 Place à l'humanité!
2024 Building bridges to live together
2024 Paix et développement
2023 1er Dialogues en humanité Casablanca
2023 Dialogues en humanité Dakar

Dialogues citoyens à travers le monde

 
S’écouter, s’exprimer, découvrir, se retrouver sous les arbres pour échanger en toute liberté !
Les Dialogues en humanité sont depuis 22 ans un rendez-vous qui fait du bien, ouvert à tous et sans inscription
Le contexte local et mondial nous invite à nous adapter et à transformer certains de nos rendez-vous habituels comme celui de Lyon.

Retrouvons nous au Vieux Lyon en humanité du 28 juin au 13 juillet (programme en cours de finalisation). 
Mais également le vendredi 4 juillet autour de la chorale ATD Quart Monde de 16h à 18h sur l'île Gandhi, le dimanche 6 juillet, pour un pique-nique partagé et informel au Parc de la Tête d’Or, vers la roseraie internationale
En 2025, le thème proposé: Des droits pour prendre soin de chaque humain
Les Dialogues en humanité souhaitent amplifier un mouvement humaniste à toutes les échelles locales, nationales, européennes, mondiales. Face aux régressions multiples qui se développent: place au meilleur de l'humanité, une humanité créatrice qui prend soin !

Pique-nique Dialogues: chaque mercredi d'avril à juin, retrouvons-nous entre 12h et 14h à la Roseraie au Parc de la tête d’or dès les beaux jours

 

Événement à Montréal du jeudi 29 mai au dimanche 1 juin 2025

https://intersectionsglobal.net/fsmi/

Forum Social Mondial des Intersections

Les Dialogues en humanité proposent dans le cadre du FSMI, le “Forum Social Mondial des Intersections” un processus de réflexion - actions sur le thème :

Quelle défense pour l'humanité ?

De plus en plus les logiques de réarmement sont omniprésentes, surtout envisagées sous l'angle militaire. Mais la question militaire n'est pourtant qu'un sous ensemble de la défense de l'humanité. Qu'est ce qui menace vraiment l'humanité? Que devons nous mobiliser pour la défendre?

Quel avenir désirable pour l'humanité devrions nous défendre ?

Comment envisager la défense d'un « pays de la Terre où existeraient la responsabilité écologique, la justice sociale et le respect et l'approfondissement des droits fondamentaux; une planète où il ferait bon vivre, où s’organiserait une humanité très diverse dans ses composantes mais consciente qu’elle doit franchir un saut qualitatif dans sa qualité d’humanité et son respect du vivant », comme le dit Patrick Viveret, co-fondateur des Dialogues en humanité.


Réunion de préparation du 9 et 18 mai: (notes prises en direct) https://semestriel.framapad.org/p/fsmi2025defensehumanite-aeee?lang=fr


Les prochaines étapes:

- Dimanche 1er juin à 16h30 (Heure Paris) : [durée 1h30]

(Jour de clôture du FSMI) Activité en ligne pendant l'événement à Montréal. A partir des contributions croisées le 18 mai, les réseaux présents prolongent la discussion, font une déclaration commune et propose un processus à suivre pour le mettre en œuvre. Nous rendons compte de ce processus pendant “l'agora des intersections”, aux côtés des autres initiatives à travers le monde.

Le lien pour se joindre à la visio: https://meet.jit.si/AnnAct105FSMI


- Lundi 7 juillet à 15h00 (Heure Paris) : [durée 2h00] - DATE A CONFIRMER

Rendez-vous en ligne post FSMI pour prolonger ce qui s'est vécu et envisager les actions à suivre

Lien de la réunion sur Zoom: https://us06web.zoom.us/j/6488591557?pwd=NzuH3ux7ufZZ8wwdTbaYoMvxhbn2Si…;
ID de réunion: 648 859 1557
Code secret: 325566

Notez bien ces rendez-vous si vous souhaitez participer!

Si vous souhaitez contribuer, écrivez à:

Patrick Viveret patrick.viveret[at]icloud.com

Philippe Piau philippepiau[at]orange.fr

A bientôt

Philippe, Anne-Marie, Patrick, Geneviève, Zehra, Shoki…



Coconstruire une alliance humaniste des forces de vie 

De plus en plus les logiques de réarmement et de guerre et d’agression se manifestent sur la planète.Celles sont omniprésentes, surtout envisagées sous l'angle militaire. Mais la question militaire n'est pourtant qu'un sous ensemble, parfois (voire souvent) contreproductif de la défense de l'humanité. Il s’agit pour les citoyens et les forces sociales du monde de non seulement défendre l’Humanité, mais de promouvoir notre humanité et notre fraternité.

Qu'est ce qui menace vraiment l'humanité? Que devons-nous mobiliser pour la défendre? Pour prendre des exemples dramatiques récents, il nous faut défendre aussi bien l’Humanité face aux massacres du 7 octobre en Israël qu’ensuite à Gaza eten Palestine, qu’en Ukraine victime d’une agression militaire, qu’au Soudan aux prises avec une guerre civile atroce oubliée, dans les mers devenant de nouveaux cimetières pour migrants et partout où les plus faibles, les plus dépendants, les femmes sont exploités.

Quel avenir désirable pour l'humanité devrions nous défendre ?

Comment envisager la défense d'un « pays de la Terre où existeraient la responsabilité écologique, la justice sociale et le respect et l'approfondissement des droits fondamentaux; une planète où il ferait bon vivre, où s’organiserait une Humanité très diverse dans ses composantes mais consciente qu’elle doit franchir un saut qualitatif dans sa qualité d’humanité et son respect du vivant » que certain.es d’entre nous évoquent sous le terme de « droits du vivant *»

Sortir des postures défaitistes

Nous sommes aujourd’hui en présence non seulement de trop d’indifférence, mais aussid’un véritable défaitisme par rapport aux deux dangers majeurs que court l’humanité, le danger écologique de se retrouver avec une terre de plus en plus inhabitable et le danger éthique, politique, spirituel d’une humanité qui se détruit elle-même par sa propre violence. C’est la conjonction de ces deux risques que nous avions nommé, lors du 70e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme, la question du double dérèglement climatique, le dérèglement physique du réchauffement et le dérèglement émotionnel de la glaciation avec la montée des haines et des guerres.

La tâche essentielle est donc d’opposer à ce défaitisme et ce relativisme qui traversent tous les courants politiques et idéologiques (donc y compris spirituels et religieux) une vision Transformatrice constructivede l’avenir qui inclut la lucidité sur le pire de l’inhumanité mais montre pour l’Humanité la possibilité de mobiliser ses forces de vie pour une Traversée vers une humanité plus intelligente et plus solidaire. C’est un enjeu qui articule non seulement le local et le global mais aussi l’intime et le planétaire.

Dans cette perspective voici plusieurs points sur lesquels nous pourrions travailler en lien avec le thème principal de la rencontre de Montréal sur la question des « intersections »:

1) Nous assistons à une montée des logiques de Guerre un peu partout et à un appel au « réarmement“ et donc à la militarisation des sociétés. Dans cette perspective, tout ce qui affaiblit les” logiques viriles“ est considéré, au mieux comme signal d'un esprit défaitiste, au pire comme manifestation d'un ennemi de l'intérieur (cf. discours de JD Vance à Munich). Le terme de “wokisme” volontairement flou sert à caractériser cette attitude du point de vue des partisans d'une militarisation des sociétés.

2) Dans cette approche guerrière, « l'intersectionnalite” est l'autre nom du « wokisme“ et sert à caractériser, selon ses détracteurs, un esprit anti-occidental. Dès lors le thème de la Défense se superpose à celui d'un Occident menacé de perdre sa suprématie économique, militaire, politique mais aussi idéologique et à justifier une lutte contre un ennemi intérieur accusé de saper, de l’intérieur, les bases de cette influence déclinante à l'extérieur du fait de la croissance démographique du monde non blanc, non masculin et non occidental.

3) La tentation serait de répondre sur le même terrain en opposant par exemple un “Sud global” à un “Nord global » et en considérant que tout affaiblissement de l'Occident est en soi bon à prendre. Dans une telle perspective un putsch militaire peut être déclaré anticolonial, une dictature ouun système autoritaire peuvent être justifiés s’ils sont anti occidentaux, le fait d’obliger des femmes à se voiler peut devenir, dans cette rhétorique, un geste anti impérialiste. Le fait que le monde occidental ait souvent déployé de manière hypocrite, en pratiquant un double langage, l'étendard des droits humains devient alors une raison de s'en prendre justement à la Déclaration universelle de ces droits.

4) La même logique binaire pourrait conduire, dans les pays occidentaux, à une forme de défense inconditionnelle du wokisme considéré comme porteur d’une alternative à toutes les formes de domination et de discrimination. Mais, si cette défense prend des formes agressives et cherche à provoquer essentiellement des sentiments de culpabilité et de honte sans montrer un chemin de mutation désirable, elle aboutit à un effet inverse de rétractation de la part des catégories ainsi dénoncées. Cela peut conduire, comme on l’a vu aux États Unis, à ce que certaines catégories basculent du côté d’un populisme néo-fasciste.

5) Face à ces discours dangereux ou contre productifs, il est important d’abord de rappeler que l’humanité est bel et bien menacée et même que son pronostic vital se trouve engagé sur deux terrains majeurs :

- celui de voir sa planète, son écosystème nourricier, détruit, ce qui la menacera à un terme court directement:

- celui de s’autodétruire par des logiques de guerre autodestructrices (y compris par l’usage d’armes thermonucléaires) ou par des régressions vers des formes d’agressions massives et de barbarie.

6) Les moyens et les lieux de la défense de l’humanité ne peuvent être de même nature que les formes du brutalisme et de la militarisation que le système dominant cherche à imposer. Par exemple les fronts sur lesquels se joue l’avenir de l’humanité peuvent être ainsi celui des mers devenant des cimetières de migrants que des familles où se jouent des violences sexuelles telles celles mises en évidence par le procès de Mazan. Il est donc essentiel, partout où c’est possible, de promouvoir des formes de résistance civile non violente plutôt que des formes de lutte armée qui s’avèrent vite contradictoires avec des règles démocratiques (suspension de droits essentiels en temps de guerre) et qui mobilisent des ressources utilisées à détruire et non à construire notre devenir commun.

7) La Défense de l’Humanité suppose une reconsidération du vivant de façon globale et le rétablissement du lien entre l’homme et la nature. De nombreuses sociétés qui vouaient un respect à la nature furent longtemps considérées comme des sociétés primitives voire sauvages. Le capitalisme, lui, a toujours considéré la nature comme objet à dominer. Ces pratiques de préservation de la nature et du respect du vivant sont encore d’actualité et participent à la lutte contre le dérèglement climatique. Une reconnaissance de ces pratiques au plan social et juridique contribue à renverser les logiques capitalistes et extractivistes destructrices de l’environnement dont sont victimes, notamment, de nombreuses sociétés africaines. Le levier juridique pour établir ces faits comme crimes écocides devra être actionné,

8) S’il peut se présenter, en termes de « légitime défense », des cas où l’utilisation d’armes peut être licite, ce ne peut être que dans des conditions très précises et en reconnaissant qu’il s’agit toujours d’un échec. L’objectif d’une limitation de la violence doit en tout état de cause être recherchée si les formes de la résistance non violente ne peuvent être pratiquées.

9) La transformation de la violence en conflit à réguler et des ennemis en adversaires à tenter de réconcilier dans la durée doit être d’autant plus recherchée que ceux qui se considèrent comme nos ennemis se sont au contraire spécialisés dans le processus inverse de transformer des conflits en violence et de faire de leurs adversaires des ennemis à éradiquer.

10) La paix n’est pas un arrêt de la guerre, elle est une chose en soi, qui associe de nombreuses dimensions dont les dimensions sociales et environnementales les plus larges. La recherchepermanente et exigeante de ces facteurs de paix doit être à la base de toute recherche de la paix.

Ce qui précède nous invite, pour défendre l’Humanité, à chercher des voies pour coconstuire une alliance humaniste des forces de vie. Parmi celles-ci :

  • les façons de favoriser les prises de conscience de la montée des barbaries et des violences et de leurs causes, mais aussi de l’existence de forces de vie créatives, conviviales, fraternelles ;
  • les moyens de passer de l’indignation face aux barbaries et de la résistance aux violences à des dialogues constructifs porteurs de solutions ;
  • les processus aidant à coconstuire des lieux où, conscients de nos identités diverses et de nos interdépendances, nous pouvons partager nos convictions, discerner ce que nous avons de commun, dégager des intérêts réciproques dans la durée, élaborer des visions communes porteuses d’un pouvoir d’agir ;
  • les possibilités de réformer l’ONU et de sauver un multilatéralisme responsable en s’appuyant sur les sages, sur les citoyens et les forces sociales du monde ;

La culture de la rencontre et du dialogue aide à se comprendre, à faire attention à ce que vivent et ressentent les autres différents, à construire des ponts, à tisser des liens ; ceci contribue d’une part à une meilleure compréhension entre personnes, communautés, peuples, etc., d’autre part à générer une éthique du débat permettant de discerner et de promouvoir des processus de délibération porteurs d’un devenir commun.

*L’expression fait débat entre nous, non sur son esprit car nous nous accordons tous sur la nécessité pour notre humanité de sortir des postures de chosification de la nature et des autres espèces vivantes mais sur l’emploi d’un terme proprement juridique qui renvoie normalement à des logiques de responsabilité. Nous aurons l’occasion d’approfondir de manière apaisée cette question à l’avenir en utilisant des méthodes de « construction de désaccords » 




Le bureau de l'association Réseau-monde des Dialogues en humanité communique

"Cher.e.s Ami.e.s des Dialogues,
L’Association du Réseau Monde des Dialogues en humanité a été informée que le festival des Dialogues organisé jusqu’ici avec l’appui de la Métropole de Lyon ne pourra pas être reconduit cette année au Parc de la tête d’or du fait des coupes budgétaires imposées aux collectivités territoriales.
Nous regrettons beaucoup cette décision mais nous tenons à dire que notre aventure collective ne s’arrête pas là et va se poursuivre sous plusieurs formes, en particulier pour continuer les Dialogues dans le monde. Le contexte géopolitique actuel est tel que nous devons résister à la haine, la guerre et toutes les injustices de ce monde.
Les dialogues dans le monde se poursuivent donc, du 30 mai au 1er juin il y aura le Forum Social Mondial Intersection à Montréal, en octobre les Dialogues à Dakar, en novembre Dialogues à Casablanca, en décembre  à Bangalore, en février 2026 en Ethiopie et Djibouti, à Berlin, puis courant 2026 un espace sera prévu pour les Dialogues au Bénin lors du Forum Social Mondial.
Nous serons également présent à Lyon en partenariat avec Vieux Lyon en humanité courant juin, et avec d’autres événements lyonnais et réfléchissons au moyen d’organiser à plusieurs un temps de rencontre convivial au parc de la Tête d’or le dimanche 6 juillet. N’hésitez pas à envoyer vos contributions et à consulter le site qui sera mis à jour et vous donnera toutes les indications pour cet événement.
Concernant l’avenir des Dialogues, nous proposerons à tous les membres et les amis des Dialogues une rencontre en visio dès l'automne pour réfléchir tous ensemble sur l’avenir et les orientations à donner pour le collectif".

Le bureau de l'association Réseau-monde



Œuvrons à la perspective d’une humanité plus humaine !

Par sa propre violence, l’humanité risque de se détruire elle même. Nous devons faire face à un défaitisme par rapport aux dangers majeurs que court l’humanité. Il s’agit de construire une vision transformatrice positive de l’avenir. Cette vision devra inclure la lucidité sur le pire de l’inhumanité, mais montrer la possibilité de mobiliser nos forces de vie pour une "Traversée"* vers une humanité plus intelligente et plus solidaire.

 


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C’est une perspective qui articule non seulement le local et le global mais aussi l’intime et le planétaire. Elle ne constitue pas seulement une perspective philosophique. En effet, elle consiste à chercher dans tous les domaines ce que pourrait être "un point de vue de l’humanité" à partir de ce qui nous est commun et qu’évoque le second manifeste convivialiste: commune naturalité, commune humanité, commune socialité (https://convivialisme.org/en-quelques-mots/). Ce changement de point de vue a des répercutions concrètes, tant individuellement que collectivement.

Par exemple, nous voyons bien les conséquences de l’absence de ce point de vue dans les conflits en cours.

Qu’il s’agisse des guerres entre nations telles celles qui déchirent Israéliens et palestiniens, ukrainiens et russes mais aussi des guerres civiles comme celles que l’on voit au Soudan, toutes sont des défaites du point de vue de l’humanité. L’Europe a payé le prix lourd pour apprendre que ses guerres intestines ont été pour elle même des défaites, au delà du vainqueur d’un moment (espagnol, portugais, français, néerlandais, anglais, allemand, russe, etc). Elle n’a pu commencer à renaître (au moins provisoirement) qu’en tournant le dos à la guerre et en s’engageant sur la voie de la réconciliation et du pluralisme assumé comme condition du vivre ensemble.

Pour que l’organisation du "peuple de la terre" sur sa planète devienne stable et solide, le même engagement est a prendre, mais pas sur la base de victoires de tel ou tel acteur, que ces victoires soient militaires ou idéologiques. Cette approche est à construire en terme de métamorphose plus que de Transition, dans un sens créateur face à un chaos destructeur. Même au cœur du tragique, "grandir en humanité" est non seulement possible mais nécessaire.

Patrick Viveret

* voir le livre chantier "La traversée – du temps des chenilles à celui des métamorphoses" de Patrick Viveret et Julie Chabaud aux éditions "Les liens qui libèrent"

Retrouvez les autres interviews et témoignages inspirants:


D'où viennent et à quoi servent les Dialogues en humanité

L’idée des Dialogues en humanité est née en 2002, lors du Sommet mondial de Johannesburg sur le développement durable.
La première édition à Lyon, en juin 2003, a rassemblé 80 invités issus de tous les milieux et de tous les continents. Depuis, les Dialogues en humanité proposent, régulièrement, de nombreuses activités dont le fil rouge est de grandir en humanité et de développer une citoyenneté de la terre, une société du "bien vivir". Nous sommes invités à sortir du sentiment d’impuissance et d’indifférence face aux grands défis auxquels l’humanité est confrontée, pour tisser des liens et faire vivre les multiples initiatives, par la rencontre et le "faire ensemble".

Chaque année, sont invitées des personnalités d’horizons divers, françaises et étrangères, ainsi que des "sages du quotidien", venant de tous les continents. Pour faciliter les prises de paroles, les organisateurs et les intervenants s’expriment au titre de leur expérience individuelle. Cette particularité constitue le coeur de la démarche qui permet à chacun "d'ôter sa casquette".
La règle d’or des échanges est fondée sur l’écoute bienveillante et le respect mutuel. Enfants, adolescents, adultes, parents, artistes, militants associatifs, chefs d’entreprise, citoyens du monde… Les Dialogues en humanité s’adressent à tous.

Ces rencontres, qui ont lieu à Lyon, dans le parc de la Tête d’or et dans plusieurs territoires proches de la ville, constituent un véritable forum mondial sur la question humaine. S’inscrivant dans une logique de mouvement et non de simples événements, elles ne cessent de se diffuser dans le monde.

Depuis 2009, l’essaimage a gagné HEM Rabat au Maroc, Fireflies à Bangalore en Inde, Salvador de Bahia au Brésil, Genshagen près de Berlin en Allemagne. Et, depuis, d’autres personnes sur différents territoires lui donnent vie: à Addis Abeba et Dire Dawa en Ethiopie, Porto Novo, Ouida, Cotonou au Bénin, Lomé au Togo,Bangui en Centrafrique, Abou Gosh, Foz do Iguaçu, Rio de Janeiro, Terra Mirim, Itacaré, Hammamet, Tunis, Le Pradier près de Moutiers, Villeurbanne, Festival D'art et D'air Lyon La Duchère, Festival des Passants Place Bahadourian à Lyon, Vieux Lyon en humanité, Défistival à Paris, Prato près de Florence en Italie, Bruxelles, Londres, Barcelone, Saint Boingt, Les Monts de la Madeleine, Voiron, Grenoble, Strasbourg, Bischheim, Roanne, Seattle, Boston, Montréal, Tombouctou, Chandigarh, Auroville, Pondicherry, Kabini près de Mysore, Yerevan, Oran, Genève

Nous nous inspirons d’autres initiatives comme le Collectif richesse, Meeting Rivers, Pipaltree et Climate South Asia, Brecho Eco Solidario, Akademie Unter den Baümen, Une âme pour la mondialisation, Cultivando Agua Boa, mais aussi le Forum Social Mondial depuis Porto Alegre, Bellem ou Mumbai, Archipel citoyen Osons les Jours Heureux, Tavola de la Pace, Agora des habitants de la Terre, AfTerre, Négawatt, Sadhanaforest, Mains d'Oeuvres, Pluriverse, Kalpavriksh

Sous le patronage de la Commission nationale française pour l'UNESCO

Contacts

Association Réseau monde des Dialogues en humanité asso [at] dialoguesenhumanite.org (asso[at]dialoguesenhumanite[dot]org)